Salut la Carddass Army !
Petite réception du jour : une Adali. Il faut savoir que malgré le nom du blog (et mon statut d’expert numéro 1 des cartes Dragon Ball Bibi Toys), je n’ai que très peu d’Adali. Peu après la découverte de la série de cartes en avril 2010 par Shintaaniki (même si, bien sûr, des photos des cartes ont tourné bien avant, comme la prisme Boo bleu, qui est passée sur le forum DBZ Collection en 2007, mais personne à l’époque n’avait fait le lien avec les Super Hero et on ne connaissait pas le nom de la série), les vrais collectionneurs (c’est-à-dire ceux qui n’hésitent pas à mettre plusieurs SMIC dans une carte à grand renfort de crédits Cofidis, Sofinco et Cétélem) se sont rués dessus. Ce qui fait que, très vite, les cartes qu’on trouvait ailleurs que sur un obscur site d’enchères taïwanais sont montées à des prix inaccessibles pour les honnêtes collectionneurs.
Ce que j’aime avec la deuxième partie des Adali, c’est qu’en plus de reprendre ma maquette préférée des Carddass, celle des parts 17 à 25, la période de Dragon Ball mise en avant est l’une de mes préférées, du 25ème tournoi à la libération de Boo. C’est surtout le tournoi et les combats dans le vaisseau de Babidi que j’aime. L’Adali Z110 présente le début du combat entre Gokū et Yakon. Je trouve cette carte magnifique, entre le vert de la bande latérale, le fond rose (on est au top de la complémentarité) et la foil mark des ennemis qui alterne le vert et le bleu, couleurs que l’on retrouve sur les quatre diagonales au dos. Et j’adore ce code couleur des Carddass. Les ennemis sont représentés par l’association du bleu et du vert, et le rendu est sublime. À chaque fois que je vois des Carddass de méchants, mon cœur s’emballe. Beaucoup plus que pour l’association orange et rouge des gentils (que je trouve plus fade que le bleu et vert). Pour revenir au visuel de la carte, contrairement à la part 18 des Carddass où il est orange, Yakon a ici la même couleur que dans l’anime.
Au dos, on a un copyright (qui ne renvoie à rien vu que les cartes ne sont pas officielles), pas de nom d’éditeur, un « Made in Japan » (FAUX !) et pas d’année d’édition.
Et hop, une petite Adali de plus dans le classeur, c’est toujours ça de pris !
À plus !