Salut tout le monde ! Comment allez-vous ? Écoutez, moi ça va pas mal, je me remets petit à petit à reprendre l’écriture pour ce blog. Et comme disent nos amis sudistes, « quand la Carddass va, tout va ».

Aujourd’hui, vous aurez droit à un article plus court que d’habitude je pense : je vais vous présenter le filebook HK part 6, et comme il y a un an, dans mon article sur le filebook part 7, j’ai été assez complet, ce n’est pas la peine ici de vous expliquer tout le background de l’objet.

Le fameux filebook

Encore une fois, on est devant un très bel objet. Le classeur ultime pour ranger ses Carddass. C’est quand même mieux que les Carddass Station japonais qui ne sont pas personnalisés, non ? Bon après, l’utilisation de ces filebooks est très limitée : la part 6 et puis c’est tout. Ça limite un peu l’imagination, mais c’est bien parfois de se faire guider.

À l’intérieur du Filebook, nous avons donc la part 6 des Carddass. Les cartes vont de la no. 211 à la no. 252. De l’arrivée de Son Gokū sur Namek à l’arrivée de Thalès sur Terre (oui, ce n’est pas la part la plus cohérente). Ce n’est pas non plus la part la plus intéressante visuellement. Mais il y a quelques cartes qui sortent du lot quand même, comme la prisme no. 222 représentant Krilin avec son fameux liseré rose, la prisme no. 234 avec Frieza derrière un filtre rouge, la regular no. 214 de Gokū avec en arrière-plan les rayons jaunes et rouges, qui a été reprise dans la part 16 des Super Battle, la carte no. 232 avec Vegeta enfant et les cartes aux visuels très peu communs présentant Thalès et sa bande. Et, bien sûr, les deux no. 215.

Les deux regulars no. 215

Je ne vais pas vous refaire l’histoire des deux cartes numéro 215, notre ami SSK l’a fait il y a sept ans et l’a fait mieux que je ne le ferai jamais. Ça fait partie des petits détails geek dont Bandai a saupoudré notre série de cartes préférée et qui font qu’on l’aime encore plus qu’on ne devrait. Ce qu’on peut remarquer sur la photo de la page de ces deux cartes (avec, je le rappelle, la traduction en chinois du texte des cartes), c’est que la deuxième 215 est numérotée… 216 ! Et voilà, même Bandai H.K. est tombé dans ce piège réservé habituellement aux profanes.

La prisme no. 222

Autre élément remarquable de cette part, c’est l’effet prisme de la carte numéro 222. Sur la photo ça ne se voit peut-être pas très bien, mais, même si c’est toujours un effet soft, il est moins prononcé que d’habitude, ici il tend vers un effet un peu laser. C’est la seule carte de la part qui donne cette impression, et ce n’est pas une erreur d’impression : j’ai cette prisme en double et les deux exemplaires ont le même rendu.

Le dos du filebook

Voilà, c’est tout pour ce filebook. J’aurais pu aller plus loin, mais ça n’aurait fait que répéter les infos présentes dans l’article sur la part 7.

Je vous dis à dans un an pour une nouvelle review de filebook HK !

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